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A L'OMBRE DE L'OCEAN (17 avril 2002)

Toi dont le regard a soufflé sur mon mirage,
Emprisonnés par les codes d'un art trop dur,
Pour espérer apaiser la chaleur sauvage
De ces gorgées d'acides à nos amours futurs.

Si le sang a coulé parfois dans deux sens,
Et la griffe s'est rétractée à l'extérieur,
La jonque perdue dans la lagune bleu intense,
Pourquoi ne pas chercher asile en profondeur ?

Mais tu es déjà ; encore tout ce que je suis,
Tout ce que je sais. Confondus comme l'eau qui coule,
J'attends l'été j'attends l'aurore ; le dernier cri,

Avant que notre cœur ne soit tu par la foule.
Et au bout de cette nuit fébrile, nous sommes un
Nous sommes mille, nous sommes tout et nous ne sommes rien.

Ecrit par Pak, à 13:31 dans la rubrique "Textes".



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