Toutes les patates ne peuvent pas nager...

Plus je me ballade de lecture en lecture ( bien que ça en exclu certains...) je me rends compte de cette chance qu'on à.

C'etait là tout de suite, ya pas une demi minute. Lire deux lignes, qui quand on y réfléchis au delà de notre rapport réel, cad de lecteur lointain et détaché, bah ça vous en fout un sacré coup au moral, de se mettre ne serait-ce que trois secondes à la place de celui qui vient d'écrire ces deux lignes...

J'aimerais pas me lever un matin pluvieux, m'assoire nue dans le fauteuil au milieu du salon, avoir trente ans, et me dire merde. Merde.

Bien sûr je le savais déjà, mais qu'est-ce que ça peut nous rendre fort de se réveiller le matin, et de voir l'autre dormir là, juste à coté, paisiblement, de sentir son souffle, sa chaleur...

Je te dirai jamais assez merci.